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« Même pour le simple envol d’un papillon, tout le ciel est nécessaire »
Paul Claudel
Histoire
Sidina
1997
Sidina signifie « prendre son envol » en malgache : ouvrir ses ailes, s’épanouir, aiguiser son regard, élargir son horizon, découvrir la culture, déployer sa personnalité, faire naître des mots et des images, développer la conscience de soi, donner des couleurs à ses sentiments, regarder autrement, ouvrir des fenêtres sur le monde.
Les débuts
1997
La photographe Karine Gougerot crée des correspondances photographiques, intitulées L’envolée, pour tisser des liens entre des milliers d’enfants du monde - français, portugais, nigériens, togolais et burkinabés. Ces programmes se réalisent en partenariat avec l’UNESCO, l’UNICEF, Aide et Action, Handicap International et des photographes
indépendants.
L'envolée
1999
L’Envolée fait son apparition à Madagascar, dans des écoles primaires de la capitale et de la côte nord-ouest. Les jeunes malgaches échangent avec des enfants français et découvrent leurs univers.
L'équipe s'agrandit
2003
Les photographies des enfants font l’objet d’une grande exposition itinérante qui sillonne Madagascar, avec le soutien de l’Institut français et des Alliances françaises. L’équipe s’enrichit de pédagogues, auteurs, conteurs et artistes-peintres; le photographe malgache Pierrot Men s’implique.
Photoana
2007
Sidina est choisie pour former la section jeunesse, parrainée par l’UNICEF, de la Biennale Photoana. 1500 enfants participent aux ateliers et à l’exposition. L’essor de l’activité donne lieu à la création de l’association Sidina France.
Diraloin
2009
Sidina s’implante à l’Ile Maurice et lance le programme Diraloin : 441 enfants bénéficieront d’un programme régulier entre 2009 et 2011. Les projets se poursuivent à Madagascar et les échanges entre les deux îles s’intensifient avec les correspondances.
Jeux de regards
2014 à aujourtd'hui
Les projets se poursuivent dans la zone Océan Indien, et au-delà avec de nouveaux pays qui rejoignent les correspondances. Le cabinet LINC Learn in Context est choisi pour évaluer l’impact du projet et outil Jeux de regards mis en place dans les écoles primaires et hors cadre scolaire à l’île Maurice et testés dans d’autres pays. 5442 enfants en bénéficieront en 2020.
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